Une analyse microbiologique de 110 échantillons de sushis a été programmée.
Chaque échantillon prélevé était immédiatement placé dans un frigobox muni d’éléments réfrigérants et d’un datalogger (pour enregistrer la température). La température était ainsi sous contrôle jusqu’à l’arrivée de l’échantillon au laboratoire qui débute immédiatement les analyses . Cette opération s’est déroulée sans problème et tous les résultats sont disponibles.

Lors de cette action, les sushis ont été prélevés dans le secteur de la distribution et dans l’horeca. Aucun agent pathogène et aucune toxine n’ont été détectés dans les échantillons.

Seul un échantillon avait une mauvaise qualité microbiologique : il contenait des E. coli, mais aucun germe pathogène. Cette présence est le signe d’un manque d’hygiène au cours du processus de fabrication.

L’établissement concerné a reçu un avis officiel lui signifiant d’adapter son système d’autocontrôle et en particulier d’améliorer l’hygiène générale, la qualité de ses matières premières et des conditions d’entreposage et de distribution.



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      Jean-Sébastien Walhin
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